Fiche 2413
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" Du miel
plein la tête "
(2019)-(Am)-(2h12) - Comédie dramatique
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Synopsis
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Nick et Sarah élèvent leur fille de 10 ans, Tilda, dans les environs de Londres. Malgré leurs problèmes de couple, Amadeus père de Nick, s'installe chez eux à contrecœur. En effet, atteint de la maladie d'Alzheimer et veuf depuis peu de temps, il est désormais incapable de vivre seul.
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Critiques Presse
bonnes moyennes mauvaises critiques nd
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Critiques Spectateurs bonnes moyennes mauvaises
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Le sujet n'est pas facile, c'est sérieux et dramatique. En tout cas, j'ai aimé ce film très beau, bien joué, très émouvant et d'une grande sensibilité humaine. film passionnant , il y a une vrai accroche a avoir avec la petite fille qui joue très bien son rôle avec simplicité et sincérité. J'ai passé un bon moment, le seul bémol est que le film est un peu trop long mais c'est a chacun d'en juger.. Après avoir vu ce film je comprends pourquoi 7 millions de spectateurs l'ont vu en Allemagne car c'est un magnifique film très émouvant, touchant, bien joué par tous les acteurs sur la maladie de l'Alzheimer. Parfois on rie, parfois on a envie de pleurer et on voyage donc que demander de plus. Une petite fille va aider son grand père atteint d'Alzeihmer ... Voici une histoire belle, touchant, drôle par moment avec le duo Nolte (père et fille) sont juste touchant surtout le père, voir ce grand bonhomme perdre la mémoire et surtout en être conscient touche profondément ( et ce n'est pas mon accompagnatrice qui me démentira). Ils jouent juste et même les parents de la petite Dillon/Mortimer sont très bien. Pas de chichi, le film est beau je me répète et les paysages sont justes splendides ( Venise hein!!) ce qui rajoute à l'émotion du film. En tous cas cette maladie est un enfer pour la personne et pour ceux qui l'aiment et on peut tous craindre cela
Sortez les mouchoirs... et versez sans hésiter vos larmes comme autant d'étoiles qui brillent dans le ciel. Simple,émouvant et réaliste,ce film trace en chacun de nous le sillon d'une existence à laquelle on s'accroche. Alors vieillissant,malade....la mémoire en défaut...la fidélité des sentiments résiste au temps par les yeux des plus jeunes. Les bribes de souvenirs finissent par éclairer un pan de vie d'une famille toute entière. Le casting est solide.. Nick Nolteimpressionne dans son rôle de papy perdu....Sans être le film du Siècle,la méthode reste efficace et à aucun moment cela verse dans le facile ou la mièvrerie...Un beau sujet social actuel,une image photographique réussie avec des plans et cadrage lumineux et doux. Au final un film rassurant malgré la tonalité de la thématique...
Du jamais vu à l'écran. Insupportable. Voilà un film qui menace vos yeux d'être atteints d'un blépharospasme, sorte de clignement perpétuel qui vous fait voir le monde en pointillé. Dès la première image, vous avez une succession ininterrompue de plans qui durent chacun au maximum une seconde. Pas de caméra posée, pas de travelling, juste une grammaire cinématographique qui tend vers le zéro absolu. Le film est un immense hoquet qui annone ses images à la vitesse d'un TGV. Impossible de voir quoi que ce soit, de laisser l'œil se reposer ne serait-ce que l'espace d'une demi-seconde dans ce montage réalisé à la hache. On se croirait à la (mauvaise) télévision un samedi soir dans ces (mauvaises) émissions faites de (mauvais) chanteurs où les différentes caméras jouent entre elles un ping-pong effréné sans que l'on ait le loisir de voir ne serait-ce qu'un bref instant le visage de celui où celle qui chante, les plans de coupe étant si rapprochés que la tête vous tourne. L'esthétique du spot publicitaire bat ici son plein, mais le produit vendu est bidon. Voilà pour la forme, qui m'a fait quitter la salle au bout d'une demi-heure, ce qui relève déjà de l'exploit. Quel navet ! Je me suis laissé berner par la bande-annonce très prometteuse et par la presse spécialisée qui ne tarissait pas d’éloges à propos de ce remake d’un film allemand réalisé également par Til Schweiger, et qui, dit-on, a remporté un succès colossal en Allemagne. Le casting est alléchant avec Matt Dillon et Emily Mortimer qui d’ordinaire sont des pros qui savent choisir des sujets intéressants, et avec le couple mythique de « The deep », Nick Nolte et Jacqueline Bisset, dont tout le monde connait les carrières exceptionnelles. Ce film est bête et choquant parce que visiblement le réalisateur trouve comique une personne atteinte d’Alzheimer. Lui, çà le fait rire, moi pas ! Mais si vous êtes de son avis et que vous aimez les gamines de 10 ans mal élevées qui la ramènent tout le temps sans qu’on leur demande et qui imposent leurs points de vue aux adultes même pour des choix de vie primordiaux, qui évoluent dans un monde où tous les gens sont, soit des débiles profonds, soit des « bisounours », soit des caricatures ou les 3 à la fois, et qui sont aveugles et sourds car ils sont incapables de reconnaitre une personne atteinte d’Alzheimer à un stade vraiment très avancé, alors ce film vous plaira. Pour ma part, il m’a fait penser à un énième opus de la série « Beethoven » destinée aux jeunes enfants, dans lequel on aurait remplacé le Saint-Bernard par un vieillard sénile. Et, cerise sur le gâteau, ce navet dure plus de 2 heures, c’est interminable, d’autant qu’il devient prévisible dès son début ! Qui a eu l'idée saugrenue de faire un remake de cette histoire sans grand intérêt ? Les saynètes qui se succèdent à l'écran sur le thème d'un vieil homme qui perd la boule, victime de la maladie d'Alzheimer, sont exposées sur le thème de la comédie sans vraiment faire ressentir le drame de la situation. C'est un peu comme si on plaisantait avec un aveugle qui tomberait dans un trou d'égout, ce qui nous ramène aux grandes heures des gesticulations du cinéma muet. Dialogues consternants et situations improbables composent ce brouet insipide. A éviter, surtout si on veut garder une bonne impression de Nick Nolte, le héros malgré lui de cette pantalonnade, pitoyable.
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