Fiche 2336
n°2336 | |
" Dos au
mur "
(2011)-(Am)-(1h42) - Policier, Thriller
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Synopsis
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Ancien flic condamné à la prison pour un vol dont il se dit innocent, Nick Cassidy a réussi à s’évader. Dans un célèbre hôtel de New York, il monte jusqu’à l’un des derniers étages et enjambe la fenêtre. Le voilà dehors, sur la corniche, au bord du vide… Lydia Mercer, négociatrice de la police, est chargée d’essayer de le convaincre de ne pas sauter. Plus la jeune femme tente de dénouer cette situation périlleuse, plus elle prend conscience que Cassidy pourrait bien avoir un autre objectif… Son geste a peut-être un rapport avec le mystérieux projet sur lequel travaille son frère. Pendant que l’ex-flic est au bord du vide et attire l’attention de toute la ville, beaucoup de choses se trament et trop de gens semblent s’intéresser à son cas. Les pièces du puzzle vont se révéler peu à peu, au risque de faire tomber beaucoup plus qu’un seul homme…
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Critiques Presse
bonnes moyennes mauvaises critiques nd
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Le Monde Le Parisien
Le Journal du
dimanche Les Inrockuptibles
L'Express Télérama
Fiches
du Cinéma Positif
Paris Match Le Figaro Libération L'Humanité Première Ecran Large Elle Ouest France L'Obs Critikat.com La Croix
Un mélange habile de tout un pan du thriller moderne qui fera parfaitement l'affaire pour un samedi soir de détente. "Dos au mur" est une bonne surprise, dont on vous recommandera de ne pas regarder la bande-annonce, afin de garder le suspense intact. Dommage que le dénouement soit un petit peu facile. Un pur divertissement du samedi soir qui carbure à l'énergie et à la modestie assumée et se montre finalement très captivant à force d'être totalement invraisemblable. La mise en scène s'affaisse sacrément sur la fin, et l'épais Sam "Avatar" Worthington est trop passe-partout. Mais la profonde modestie de l'ensemble pousse à l'indulgence. À trop faire le malin, ce thriller, qui nous allèche avec une entame vertigineuse et bien menée, s'épuise bien vite pour tourner à vide. Comme son héros sur sa corniche. Le tout est interprété par des acteurs qui croient dans l'entreprise, contrairement... au spectateur, à qui il ne reste plus qu'à revoir 14 Heures (Fourteen Hours, 1951) de Henry Hathaway, dont la situation de départ fait l'objet d'un traitement suivi, réaliste et rigoureux. Récit d'une bêtise rare, multipliant les incohérences et retournements de situation grotesques, (...) [un] acteur principal transparent et un manque de rythme ne font qu'enfoncer "Dos au mur" dans les limbes du thriller paresseux et déjà has been.
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Critiques Spectateurs bonnes moyennes mauvaises
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"Dos au mur" pour qui a le vertige est déjà une épreuve en soi ! On
reste en effet bien cramponné à son siège tant l'effet du vide mêlé
à celui de l'intrigue très bien menée, nous tient particulièrement
en haleine ! Ce film est donc une très bonne surprise en soi... Le
parallèle entre la situation de chacun des protagonistes et ce lien
qui se tisse petit à petit entre eux, est vraiment digne d'intérêt
et surprend très agréablement ! Les grosses ficelles sont quand même
au rendez-vous mais apparaissent plutôt vers la fin avec un
dénouement bâclé et un peu trop farfelu, manquant de crédibilité ! Dos au mur est vraiment une très grosse surprise, je m'attendé a un très bon film et ba j'ai eu un excellent film, vraiment j'ai était captivant, absorbé et scotché par ce film. Avec une tension palpable et constante pendant tout le film. Vraiment ce film est un énorme coup de cœur. Le scénario est très bien ficelé, très travaillé, rempli de surprise et nous captive de bout en bout grâce aux suspenses et aux rebondissements: l'idée de se suicider publiquement pour prouver son innocence est très intéressante et très bien menée ce qui amène a une tension constante pendant tout le film. Et la chute finale est juste énorme et inattendu, vraiment excellent finale, j'ai adoré. La réalisation est de qualité, de très beau plans vertigineux et très efficace, vraiment rien a dire, excellente réalisation. Le jeu acteurs est très convaincant: Sam Worthington est encore une fois remarquable et parfait dans son rôle. Et Elizabeth Banks est aussi impeccable ainsi que les autres acteurs. Les personnages son très bien écrits donc assez attachants. Voila un thriller qui sort du lot car il est redoutablement bien rythmé et efficace. A voir absolument car il vaut le détour. Un chef-d’œuvre du genre pour moi.
Un
petit film qui se laisse regarder.
Un
ex flic s'évade de prison et va se réfugier dans un grand hôtel et
se rmettre sur la façade pour se jeter dans le vide. Sans attendre
le scénario attendu se met en marche. tout le monde et les caméras
ont les yeux sur lui il fait appel à une femme flic réputée pour son
rôle de négociatrice dans ce genre de situation, pour dénouer la
situation. Très vite elle va comprendre que l'homme ne se jettera
pas dans le vide, mais plutôt qu'il attend autre chose
"Dos au mur" n'est rien de plus qu'un navet - mais un gros - de
haut-vol concocté par Asger Leth qui livre sa seconde réalisation
après un premier essai passé inaperçu - on se demande bien pourquoi
tient. Trop caricatural pour que l'auteur du scenario et des dialogues n'est juste pas décidé d'y aller à fond dans le n'importe quoi et de se marrer un bon coup en alignant tous les clichés du genre en y ajoutant juste ce qu'il faut de second degrès pour prévenir le spectateur que c'est un gros canular. Hommage lui en soit rendu, ce qui permet au public pas intéressé de zapper après 20 minutes. La scène de poursuite avec les squad est le seul truc à sauver niveau rythme et montage, le reste est un pastiche assumé. Je trouve assez fort de réaliser un truc qui répond à la demande de la production (bimbos etc ...), permet de gagner de l'argent et de rigoler un bon coup (je parle de l'équipe du film, pas du public). Le hold-up parfait du film, il est là. Perte de temps totale pour un film infantile, pour ne pas dire débile : une histoire idiote, bourrée d’invraisemblances et de lourdeurs, sans aucune originalité, bref une bouillie pour chien affamé. Les acteurs essaient de sauver quelques passages mais il est bien connu que les miracles n’existent pas. Même Ed Harris, excellent d’ordinaire, arrive à être grotesque. Le nanar absolu : ce genre de film nullissime me met en colère car il désespère le spectateur et tue le cinéma.
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